J’ai lu: Cul-de-sac de Douglas Kennedy

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Cul-de-sac de l’auteur Douglas Kennedy. 

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

J’ai lu: Cul-de-sac de Douglas Kennedy

Nombre de pages: 292 pages

Maison d’édition:  folio policier

Date de parution (dans cette édition): avril 2006

4ème de couverture:

 » Remarquable !  » ;  » Drôle et terrifiant  » ;  » Impeccablement construit, j’ai adoré. « … Autant de propos de lecteurs entendus après la découverte de ce premier roman ou comment réussir du premier coup un véritable exploit et devenir du jour au lendemain le créateur de l’un des meilleurs romans noirs de l’histoire du genre. Ni plus, ni moins. Ce récit d’un voyage au paradis des grands espaces australiens qui vire au cauchemar éveillé est un petit bijou. Nick, héros bien malgré lui de ce thriller féroce, n’avait rien contre ce pays avant d’écraser un kangourou par une nuit sans lune. Sa rencontre avec la jeune et robuste Angie va le mener en plein cœur du bush. Au milieu de nulle part. Au sein d’un clan d’allumés coupés du monde, sans aucune route pour quitter ce traquenard. Nick, désormais, n’aura qu’une seule obsession : comprendre ce qu’il fait là et sauver sa peau. Fuir alors que toute la communauté le surveille…

Mon avis: 

Cela faisait très longtemps que ne n’avais pas lu de livre de cet auteur plutôt prolifique qu’est Douglas Kennedy, c’est pourquoi j’ai embarqué en vacances son tout premier roman. 

Et quel roman ! On y suit Nick – le narrateur -, un journaliste américain qui décide de partir faire un road trip en Australie et qui par un hasard malheureux va tomber sur la belle mais néanmoins vénéneuse Angie, qui habite un bled perdu au fin fond du bush australien. 

A partir de là, tout va partir en cacahuètes pour Nick, qui est malgré lui entraîné et séquestré par la communauté de dingos de laquelle provient Angie. 

J’ai trouvé que la tension qui émane de cette histoire est assez dingue pour dire qu’il s’agit d’un premier roman. Le ton est parfaitement maîtrisé. C’est drôle et dramatique à la fois et les dialogues ne manquent pas de mordant. Les tournures de phrases sont toujours maîtrisées à la perfection.

Le silence s’est fait. Un silence de crypte. Le genre de silence qui vous ferait croire qu’il n’y a que vous sur terre. ça m’a foutu les jetons, ce silence à perte d’ouïe, style espaces infinis. Je n’avais pas vu le poteau frontière, mais j’y étais, au Pays de Nulle part…

Cul-de-sac, de Douglas Kennedy, page 43

Ce roman parle des personnes mises au ban de la société, qui pensent pouvoir faire leur propre loi et se jouer des conventions sociales.

J’ai aimé ce roman si particulier de la bibliographie de Douglas Kennedy et ne tarderai pas à lire d’autres livres de sa plume!

Méfiez-vous des kangourous la nuit 😉

Ma note:  ♥♥♥♥(♥)

J’ai lu: Cul-de-sac de Douglas Kennedy