J’ai lu: Un sandwich à Ginza d’Hiramatsu Yôko

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du récit Un sandwich à Ginza de l’autrice Hiramatsu Yôko qui est une fine gastronome et journaliste culinaire. Ce livre est illustré par Taniguchi Jirô.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

J’ai lu: Un sandwich à Ginza d’Hiramatsu Yôko

Nombre de pages: 249 pages

Maison d’édition: Picquier poche

Date de parution (dans cette édition): 3 mars 2022

4ème de couverture:

Ces histoires délicieuses qui nous font venir l’eau à la bouche, l’écrivaine gastronome les a composées en compagnie de son ami Taniguchi. Elle nous donne le goût du Japon avec une volupté, une euphorie contagieuses. Cuisine bouddhique à Kamakura, pot-au-feu de fugu à Osaka ou fête de l’anguille à Narita, gyôza croustillants à Jimbôchô, tempuras de crosses de fougères et de pousses de lis à Ginza… Autant de restaurants que de petits quartiers, leurs spécialités et les personnages qui les animent. Car ce livre est aussi un document vivant qui nous fait comprendre le rapport des Japonais à la nourriture : mets de saison et plats de fête, recettes jalousement gardées, destins d’établissements centenaires.
Un livre alléchant, d’une merveilleuse sensualité, qui assouvit aussi bien les rêveries gustatives que la soif de connaissances sur le Japon.

Mon avis: 

Si l’idée d’avoir l’eau à la bouche durant la lecture d’un livre vous tente et si la cuisine japonaise vous intéresse, ce livre est fait pour vous. 

Ecrit comme un hommage aux plats les plus traditionnels japonais, chaque chapitre décrit un plat et raconte des anecdotes sur les différents restaurants où nous pouvons (ou pouvions du moins) manger les meilleures assiettes dudit plat. 

J’ai découvert une facette du Japon que je ne connaissais pas. En effet, je pensais les japonais plus réservés, plus taciturnes, alors qu’en fait ils aiment se retrouver après le travail autour d’une bière et de bons petits plats qu’ils se plaisent à partager.

On sent que l’autrice est passionnée par son sujet et qu’elle voue un vrai culte à la cuisine de son pays. Certains plats méritent presque un rituel avant de les manger et incitent à une sorte de méditation. 

Les premières fèves de la saison, frites. Pourquoi la joie de renouer avec un produit grandit-elle avec l’âge? Peut-être parce que tout en savourant leur chaude chair tendre, l’idée qu’une année déjà s’est écoulée nous pousse à faire le bilan de notre vie, passée et future. 

Un sandwich à Ginza, d’Hiramatsu Yôko, page 23.

Chaque plat est détaillé, brillamment décrit et titille nos papilles, faisant de ce livre un vrai guide culinaire du Japon. Ne vous attendez donc pas à avoir une vraie histoire dans ce livre, il s’agit plutôt de « tranches de vie ».

De plus, les illustrations très précises de Taniguchi Jirô donnent un petit côté bucolique au récit et nous permettent de mieux nous représenter certains plats.

Un livre qui nous donne envie de prendre le temps de manger comme il faut et de partager de bons petits plats avec les gens que nous aimons!

Ma note:  ♥♥♥(♥)J’ai lu: Un sandwich à Ginza d’Hiramatsu Yôko