Kitoko ya Afrika saison 1: bilan d’une saison de chronique beauté

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OU CHRONIQUE D'UNE CHRONIQUEUSE NON CONFIRMÉE

Kitoko ya Afrika saison 1: bilan d’une saison de chronique beauté

La 1 ère saison de ma chronique beauté sur Barao Afrika, la matinale de la chaîne VoxAfrica s'est achevé au mois d'août et a repris le 7 septembre dernier. Durant ce break, j'ai fait un petit bilan de cette belle expérience.Lorsque l'on regarde Barao Afrika, on peut facilement penser que c'est un travail tout à fait facile. Et bien non. Derrière ces grands sourires et ces éclats de rire se cache énormément de travail.

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L'émission commence en direct à 5H30 ou 6H30 du matin selon le changement d'heure. Il faut donc se lever tôt. Quand je dis tôt, cela ne signifie pas que je me lève à 5h00 du matin. Non, non, non... je me lève bel et bien entre 2 heures et 3 heures du matin selon le fuseau horaire. Quel que soit mon état de fatigue, cela ne peut pas paraître à l'écran : the show must go on... Mais après le show, je peux vous promettre qu'on se relâche.

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Mon travail consiste à préparer mes rubriques de A à Z c'est-à-dire trouver du contenu, le créer et la préparer, ce qui peut être assez chronophage si je dois aussi faire un reportage et " dérusher " les vidéos pour le montage.

Mais c'est aussi très enrichissant car j'ai une réelle liberté d'action.

N'oublions pas que c'est une émission en direct, donc nous n'avons pas le droit à l'erreur. Qu'importe le nombre d'heures que j'ai passé à travailler sur ma rubrique c'est le résultat à l'écran qui compte.

Tout peut arriver, il peut y avoir un incident technique, les vidéos peuvent ne pas être jouées, une panne d'électricité, un tremblement de terre. Dans ce cas là, que dois-je faire? Paniquer, m'évanouir ou m'enfuir du plateau ? Il faut donc improviser...

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Au stress du direct, s'ajoute ma maladresse : il ne se passe pas une journée sans que je me cogne contre un meuble ou que je fasse tomber un objet.

J'ai donc très vite appris à relativiser. Je ne suis un chirurgien sur une table d'opération, si je dis un mot de travers, personne ne va mourir. Le fait que j'ai le sens de l'humour et que je ne me prenne pas au sérieux m'a aussi été très utile.

Les début ont été difficiles, étant d'un naturel réservé, je m'exprime peu et surtout seulement lorsque j'ai des informations intéressantes à apporter. Autant dire que travailler sur une émission en directe n'était pas aisé. Mais, j'ai su prendre mes marques en comptant sur le soutien de mes collègues dont " tonton " Adjé, le présentateur de Barao Afrika qui m'a pris sous son aile dès le départ.

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Et je peux vous assurer que c'est extrêmement rare d'avoir des collègues qui nous soutiennent.

Parmi toutes ces difficultés, la plus grande à surmonter a bien sûr été de trouver une tenue différente à porter chaque semaine. Je plaisante, bien sûr. Cependant, même si mon armoire est pleine à craquer je me heurte au même souci, à savoir, que porter ? Pour cela, j'ai appris l'art de la simplicité.

Kitoko ya Afrika saison 1: bilan d’une saison de chronique beauté

Mais vous savez, qu'importent ces difficultés, il suffit que le réalisateur crie " tournez " pour que tout soit oublié. Je fais un métier extraordinaire qui m'ouvre à de nombreuses opportunités. (Pas de quoi avoir la grosse tête, je ne sauve pas des vies quand même). J'ai aussi pu compter sur l'aide des téléspectateurs de Barao Afrika qui sont, selon moi, les meilleurs du monde.

Kitoko ya Afrika saison 1: bilan d’une saison de chronique beauté

Et bien, c'est parti pour une deuxième saison tous les mercredi à 5h30 GMT (7h30 heure française) sur VoxAfrica. Si vous n'avez pas encore vu ma chronique, vous pourrez juger par vous-même l'évolution de mes prestations sur ma chaine youtube.