Une troyenne à montréal #2 : à la rencontre des écureuils

Parce que c'est trop chou de la mort et que c'est hallucinant comme il y en a partout dans cette métropole. Plus que de caribous d'ailleurs (arrêtons ce mythe de merde, please). Dans ma petite ville de France, tout ce que j'avais l'habitude de côtoyer c'était seulement les pigeons. Les cacas de pigeons sur le rebord de la fenêtre, leurs attaques enragées contre le pare-brise, leur doux et tendre roucoulement pour me réveiller les petits matins d'été. Ils me manqueraient presque ces pigeons... En fait, non, pas du tout. Les p'tits cocos d'écureuils sont tout mignon à côté. Il y a des rouquins (c'est l'écureuil typique dans ma tête que j'aurai pu dessiner si je savais dessiner), et d'autres plus grisonnants, mais tous sont très agiles et gourmands ! Voici quelques écureuils que j'ai pu croiser sur mon chemin...

UNE TROYENNE À MONTRÉAL #2 : À LA RENCONTRE DES ÉCUREUILS

Le top model : celui qui connaît son meilleur profil et qui sait poser pour la photo parfaite d'écureuil.


UNE TROYENNE À MONTRÉAL #2 : À LA RENCONTRE DES ÉCUREUILS

Le philosophe : celui qui se perd dans ses pensée en contemplant tout ce blanc d'hiver.


UNE TROYENNE À MONTRÉAL #2 : À LA RENCONTRE DES ÉCUREUILS

Le boud'chou : c'est la version du chat-botté dans Shrek, quand il te fait les yeux doux, tu lui donnes TOUT.


UNE TROYENNE À MONTRÉAL #2 : À LA RENCONTRE DES ÉCUREUILS

La grosse-bouffe : celui qui se mettrait à tes pieds pour un bout de peanut.


...Un préféré dans ce lot ?Xoxo