J’ai lu: Plus grands que le monde de Meredith Hall

Hello tout le monde !

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman Plus grands que le monde de l’autrice Meredith Hall.

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !

Les (♥) représentent les demis 

L’image provient de mon instagram.

J’ai Plus grands monde Meredith Hall

Nombre de pages: 365 pages

Maison d’édition:  Philippe Rey

Date de parution (dans cette édition): 1er février 2024

4ème de couverture:

Premier roman envoûtant, une exploration de la famille comme lieu d’apprentissage vers la rédemption.

Lorsque Doris et Tup se rencontrent dans les années 1930, l’avenir leur apparaît comme une évidence. À tout juste dix-huit ans, Doris troque ses rêves d’enseignante pour une vie d’amour et de labeur aux côtés de Tup dans la ferme laitière familiale du Maine. Là-bas, leurs journées suivent les rythmes de la terre ; un quotidien fait de joies simples, en communion avec la nature, qu’égayent bientôt trois enfants au caractère affirmé : Sonny, qui fait de sa chambre un musée consacré aux insectes uniques de la région ; Dodie, la cadette au grand cœur ; et Beston, le petit dernier, calme et dévoué. Une vie de découverte et de partage bien réglée, jusqu’au jour où survient une terrible tragédie, ébranlant à jamais les fondations familiales…
Premier roman envoûtant, Plus grands que le monde explore avec une tendresse et une compassion rares les chemins de reconstruction d’une famille endeuillée. Étendant le récit sur presque vingt ans, Meredith Hall rend compte du quotidien d’une famille américaine ordinaire au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, prise entre les tourments personnels et les bouleversements sociétaux. Mais c’est en dépit de tout un roman lumineux, au phrasé élégant et juste, qui jette sur l’amour – filial, parental, fraternel – une lueur neuve et habile. Bouleversant.

Mon avis:

USA, 1930.
Doris et Tup se rencontrent jeunes et fondent très vite une famille. Ils exploitent la ferme de vaches laitières dont Tup a hérité de son père et coulent des jours heureux, toujours très amoureux l’un de l’autre.
Ils ont trois enfants: Sonny, Dodie et Bester.
Cependant, un drame survient alors que leur fils aîné a 14 ans, qui viendra ébranler les fondations pourtant solides de leur relation et même de leur famille.
Un roman triste et lumineux à la fois, qui m’a fait passer par toute la palette des émotions.
L’autrice a su créer des personnages auxquels nous nous attachons immédiatement, malgré leurs défauts.
De plus, l’alternance des points de vue entre les chapitres narrés alternativement par Doris, Tup et Dodie nous permet d’entrer dans leur tête et de mieux comprendre leurs réactions.

Autrefois, je croyais au bonheur. Je n’avais pas compris que nous ne parvenons jamais totalement jusqu’à cet univers-là. Nous le visitons lors de moments miraculeux, puis nous voyageons dans d’autres univers et, si nous avons un tant soit peu de sagesse, nous refusons l’amertume ou le regret quand le bonheur s’en va. Cette sagesse-là, j’ai mis du temps à l’acquérir. J’avais imaginé des vies de bonheur pour mes enfants, des vies dépourvues de toute appréhension de chagrin. Les leur avais-je promises? J’espère que non. 

Plus grands que le monde, de Meredith Hall, pages 274-275.

Doris et Tup n’arrivent pas à se retrouver après le drame qui les hantera toute leur vie, se sentant coupables et n’étant plus capables de se rapprocher pour en parler et panser ensemble leurs blessures.
Un livre qui parle de deuil, d’amour, de famille et de santé mentale.
Une plume sensible qui m’a fait penser à Joyce Maynard (qui a d’ailleurs écrit la phrase d’accroche sur le bandeau de publicité du livre!). En effet, si vous avez aimé « où vivaient les gens heureux », vous adorerez « plus grands que le monde ».
Un énorme coup de cœur.

Ma note: ♥♥♥♥♥


J’ai Plus grands monde Meredith Hall


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