Bilan de mes lectures du mois de juin 2020

Publié le 27 juillet 2020 par Badgeekette

Coucou tout le monde !

Je reviens aujourd’hui pour vous présenter mes lectures du mois de juin 2020.

Les résumés et les images ont été pris sur Amazon sauf le disparu du vieux cimetière, l’image et le résumé ont été pris sur le site vaudfamille.ch

Livres lus durant le mois : 10

 ♥ = Bof bof, à éviter

♥♥ = Sympa, sans plus

♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !

♥♥♥♥ = A lire absolument !

♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de coeur !

Les (♥) représentent les demis 

Le chant de l’assassin – R.J. Ellory

Nombre de pages: 496 pages

Editeur: Sonatine

Date de parution (dans cette édition): 23 mai 2019

Résumé: 

Tout le monde a un secret.

1972. Condamné pour meurtre, derrière les barreaux depuis plus de vingt ans, Evan Riggs n’a jamais connu sa fille, Sarah, confiée dès sa naissance à une famille adoptive. Le jour où son compagnon de cellule, Henry Quinn, un jeune musicien, sort de prison, il lui demande de la retrouver pour lui donner une lettre. Lorsqu’Henry arrive à Calvary, au Texas, le frère de Riggs, shérif de la ville, lui affirme que la jeune femme a quitté la région depuis longtemps, et que personne ne sait ce qu’elle est devenue. Mais Henry s’entête. Il a fait une promesse, il ira jusqu’au bout. Il ignore qu’en réveillant ainsi les fantômes du passé, il va découvrir un secret que les habitants de Calvary sont décidés à ne pas laisser divulguer.

Mon avis: 

J’ai vraiment adoré ce roman et j’ai retrouvé avec un énorme plaisir la plume de R.J. Ellory. L’auteur arrive vraiment à nous impliquer dans les histoires de ses personnages et on se sent proche d’eux. L’histoire est passionnante et m’a tenue en haleine du début à la fin. Un gros coup de cœur pour le personnage d’Henry Quinn, qui veut vraiment respecter la promesse qu’il a faite à Evan en prison. Ce jeune homme qui a dû purger une peine de prison pour un accident qui aurait pu coûter la vie d’une mère de famille a à cœur de se faire racheter ses mauvais comportements passés. Il est courageux et n’abandonne jamais.  J’ai vraiment apprécié les alternances entre les chapitres passé-présent, ce qui nous permet d’avoir une bonne vue d’ensemble de l’histoire. Il ne s’agit pas réellement d’un thriller à proprement parler mais d’un drame familial dont je me souviendrai longtemps.

Ma note: ♥♥♥♥

L’engrenage du mal – Nicolas Feuz

Nombre de pages: 299 pages

Editeur: Slatkine & Cie

Date de parution (dans cette édition): 28 mai 2020

Résumé: 

Quatre hommes se réveillent et découvrent qu’ils sont séquestrés. Quel lien peut bien les unir ? Ils vont devoir le découvrir rapidement…

Une fin d’été caniculaire qui transpire la vengeance, un mois de janvier polaire où la justice relève les compteurs. Entre ces deux temps s’installe un aller-retour oppressant, réglé comme une montre suisse à complication. La scène se passe entre Lausanne et La Chaux-de-Fonds. Quatre hommes sont enlevés et séquestrés dans des moulins souterrains désaffectés. Ils ne se connaissent pas et pourtant tout les réunit.
Le nouveau roman du procureur Feuz a l’échappement inquiétant d’un barillet dont on armerait le remontoir à vide. Implacable, impeccable. De la très grande horlogerie.

Un thriller oppressant, signé d’une main de maître.

Mon avis: 

Vous pouvez retrouver mon avis complet juste ici 🙂

Ma note: ♥♥♥

Le disparu du vieux cimetière – Catherine May

Nombre de pages: env. 120 pages

Editeur: Auzou Suisse

Date de parution (dans cette édition): mai 2020

Résumé: 

Au collège de la Servanne, la vie coule paisiblement pour Léa et sa bande de copains.
Jusqu’au jour où un chantier près de l’école révèle une sépulture ancienne.
Fascinés par cette découverte, les enfants essayent d’en savoir plus et décident d’aller explorer le site des fouilles. Mais tout s’accélère lorsqu’un des amis de Léa disparaît mystérieusement…

Mon avis: 

Comme j’avais beaucoup aimé les 2 premiers livres parus dans cette même collection, je me suis également offert celui-ci, d’autant plus que j’avais eu l’occasion de rencontrer l’auteure lors d’un salon (Morges sur les Quais) il y a de cela quelques années et que je l’avais trouvée très sympathique 🙂 J’ai d’ailleurs un peu honte mais je n’ai toujours pas lu le livre que je lui avais fait dédicacer d’ailleurs Bref pour revenir à ce roman jeunesse je l’ai trouvé très sympa à lire, bien sûr le public cible est les enfants de 9-12 ans donc ce n’est pas très effrayant pour une trentenaire habituée à des thrillers bien sanglants mais j’ai aimé la plume de l’auteur et j’ai trouvé à cette bande de gamins qui enquêtent un air de club des 5 qui m’a beaucoup plu. J’ai également apprécié d’en savoir plus sur le métier d’archéologue 🙂 (le premier métier de l’auteure) Je me réjouis de le faire découvrir à mes filles quand elles en auront l’âge !

Ma note: ♥♥♥

Emma dans la nuit – Wendy Walker

Nombre de pages: 312 pages

Editeur: Sonatine

Date de parution (dans cette édition): 15 février 2018

Résumé: 

Deux sœurs disparaissent. Trois ans plus tard, une seule revient. Dit-elle toute la vérité ?

Emma, 17 ans, et Cass, 15 ans, sont les sœurs Tanner, devenues tragiquement célèbres depuis leur inexplicable disparition. Après trois ans d’absence, Cass frappe à la porte de chez ses parents. Elle est seule. Elle raconte comment sa sœur et elle ont été victimes d’un enlèvement puis retenues captives sur une mystérieuse île. Emma y serait toujours. Mais la psychiatre qui suit cette affaire, le Dr Abigail Winter, doute de sa version des faits et s’intéresse de plus près aux Tanner. Elle finit par découvrir, sous le vernis des apparences, une famille dysfonctionnelle régentée par une mère narcissique. Que s’est-il réellement passé trois ans auparavant ? Cass dit-elle toute la vérité ?

Mon avis: 

J’ai trouvé ce roman agaçant à bien des titres. Déjà, l’attitude de la mère de famille était à la limite du soutenable tant elle est détestable. On la sent jalouse de ses filles et surtout d’Emma. Ensuite, je n’ai pas trop compris le personnage de la psychologue du FBI que j’ai trouvée également très bizarre de par son extrême fragilité, pas tellement compatible avec son métier il me semble. L’intrigue est cependant intéressante même si je me doutais un peu de la fin qui est bien tordue. Ce livre n’a pas été un coup de coeur mais je lirai tout de même les autres romans de l’auteure car j’avais adoré « tout n’est pas perdu » qui était à mon sens bien mieux construit avec des personnages avec plus de substance.

Ma note: ♥♥

La jeune fille et la nuit – Guillaume Musso

Nombre de pages: 440 pages

Editeur: Calmann-Lévy

Date de parution (dans cette édition): 24 avril 2018

Résumé: 

Côte d’Azur – Hiver 1992
Une nuit glaciale, alors que le campus de son lycée est paralysé par une tempête de neige, Vinca Rockwell, 19 ans, l’une des plus brillantes élèves de classes prépas, s’enfuit avec son professeur de philo avec qui elle entretenait une relation secrète. Pour la jeune fille, « l’amour est tout ou il n’est rien
Personne ne la reverra jamais.

Côte d’Azur – Printemps 2017
Autrefois inséparables, Fanny, Thomas et Maxime – les meilleurs amis de Vinca – ne se sont plus parlé depuis la fin de leurs études. Ils se retrouvent lors d’une réunion d’anciens élèves. Vingt-cinq ans plus tôt, dans des circonstances terribles, ils ont tous les trois commis un meurtre et emmuré le cadavre dans le gymnase du
lycée. Celui que l’on doit entièrement détruire aujourd’hui pour construire un autre bâtiment.

Mon avis: 

Un thriller vraiment bien ficelé qui m’aura vraiment passionnée ! J’ai adoré ce roman à tiroirs, où on revit alternativement les souvenirs de tous les protagonistes jusqu’à découvrir la glaçante vérité. Tous les romans de Guillaume Musso ne se valent pas mais celui-ci est vraiment au-dessus du lot. J’ai vraiment été surprise par le final, ce qui n’arrive pas très souvent! A découvrir !

Ma note: ♥♥♥

Une douce lueur de malveillance – Dan Chaon 

Nombre de pages: 544 pages

Editeur: Albin Michel

Date de parution (dans cette édition): 22 août 2018

Résumé: 

« Nous n’arrêtons pas de nous raconter des histoires sur nous-mêmes. Mais nous ne pouvons maîtriser ces histoires. Les événements de notre vie ont une signification parce que nous choisissons de leur en donner une. »

Tel pourrait être le mantra de Dustin Tillman, psychologue dans la banlieue de Cleveland. Ce quadragénaire, marié et père de deux adolescents, mène une vie somme toute banale lorsqu’il apprend que son frère adoptif, Rusty, vient d’être libéré de prison. C’est sur son témoignage que, trente ans plus tôt, celui-ci a été condamné à perpétuité pour le meurtre de leurs parents et de deux proches. Maintenant que des tests ADN innocentent son frère, Dustin s’attend au pire.

Au même moment, l’un de ses patients, un policier en congé longue maladie, lui fait part de son obsession pour une étrange affaire : la disparition de plusieurs étudiants des environs retrouvés noyés, y voyant la marque d’un serial killer. Pour échapper à sa vie personnelle, Dustin se laisse peu à peu entraîner dans une enquête périlleuse, au risque de franchir les limites que lui impose son rôle de thérapeute.

Plongée dans les ténèbres, celles d’un homme submergé par ses propres contradictions et les failles de sa mémoire, Une douce lueur de malveillance est un livre virtuose et vénéneux. Une écriture glaçante, une inventivité littéraire qui bouscule les structures du roman contemporain : rarement un écrivain aura su explorer le mystère de l’identité avec un réalisme aussi obsédant.

Mon avis: 

Ce roman m’a un peu dérangée car on y suit un psychologue lui-même plutôt instable psychiquement suite au décès de sa femme. On revit ses souvenirs de jeunesse, où il avait accusé son demi-frère du meurtre de ses parents. A la libération de celui-ci, tout remonte  à la surface et il commence à tourner la boule, influencé par l’un de ses patients, un ex-flic psychotique. C’est un roman dont l’atmosphère est étouffante, on sent pointer le drame dès les premières pages. On revit les souvenirs de jeunesse du personnage principal mais on ne sait jamais trop si c’est réel ou imaginé. Le plus jeune fils du psychologue se drogue pour oublier que sa vie est un désastre et le fils ainé essaie de faire bonne figure à l’université pour contrebalancer tout cela… L’écriture est nerveuse et reflète bien l’état mental des protagonistes. On suit également alternativement les différents personnages afin d’avoir leur point de vue. J’ai aimé le style d’écriture mais ce livre m’a laissé un arrière-goût de malaise … exactement l’effet recherché par l’auteur j’imagine !

Ma note: ♥♥

Les choses humaines – Karine Tuil

Nombre de pages: 352 pages

Editeur: Gallimard

Date de parution (dans cette édition): 22 août 2019

Résumé: 

Les Farel forment un couple de pouvoir. Jean est un célèbre journaliste politique français ; son épouse Claire est connue pour ses engagements féministes. Ensemble, ils ont un fils, étudiant dans une prestigieuse université américaine. Tout semble leur réussir. Mais une accusation de viol va faire vaciller cette parfaite construction sociale. Le sexe et la tentation du saccage, le sexe et son impulsion sauvage sont au coeur de ce roman puissant dans lequel Karine Tuil interroge le monde contemporain, démonte la mécanique impitoyable de la machine judiciaire et nous confronte à nos propres peurs. Car qui est à l’abri de se retrouver un jour pris dans cet engrenage ?

Mon avis: 

Une famille bourgeoise et aisée dont le fils est accusé de viol par une jeune fille voit sa vie basculer dans l’horreur des tribunaux et de la honte en un instant. Ce roman est bien d’actualité avec le mouvement « me too ». L’auteure a bien décrit cette famille a qui tout réussi, qui a de l’argent, des carrières florissantes et un fils beau et intelligent qui va intégrer une grande université aux USA. Ce conte de fées va prendre fin avec l’accusation de viol et leur vie va voler en éclats. Malgré leur volonté de sauvegarder les apparences et malgré le fait que leur fils clame son innocence, le doute s’immisce dans leur esprit, insidieux et destructeur. Un roman très bien écrit et qui me donne envie de lire d’autres livres de cette auteure !

Ma note: ♥♥♥

Et soudain tout change – Gilles Legardinier

Nombre de pages: 416 pages

Editeur: Pocket

Date de parution (dans cette édition): 5 mars 2015

Résumé: 

Pour sa dernière année de lycée, Camille a enfin la chance d’avoir ses meilleurs amis dans sa classe. Avec sa complice de toujours, Léa, avec Axel, Léo, Marie et leur joyeuse bande, la jeune fille découvre ce qui fait la vie.
À quelques mois du bac, tous se demandent encore quel chemin ils vont prendre. Ils ignorent qu’avant l’été, le destin va leur en faire vivre plus que dans toute une vie… Du meilleur au pire, avec l’énergie délirante et l’intensité de leur âge, entre espoirs démesurés, convictions et doutes, ils vont expérimenter, partager et se battre. Il faut souvent traverser le pire pour vivre le meilleur

Mon avis: 

J’avais bien ce roman avec moi dans ma valise de maternité et je n’avais aucune idée de son sujet. Finalement, je ne suis pas sûre que c’était le choix le plus judicieux de la terre, sachant qu’il s’agit d’une bande d’adolescents qui découvrent l’amour et doivent faire face à la douleur de la perte d’une être cher. Evidemment, avec les émotions à fleur de peau, j’ai pleuré comme une madeleine à plusieurs reprises ! Ce que je peux vous dire, c’est que si vous aimez les romans d’amitié, avec une bande de copains attachants, ce roman est pour vous. Il est écrit admirablement bien à la première personne car c’est Camille, une jeune fille, la narratrice. J’ai trouvé super la manière que l’auteur (un homme donc) a réussi à se glisser dans la peau et les émotions d’une adolescente sans que cela sonne faux. Après avoir refermé ce livre, on a encore plus envie de profiter de la vie et surtout de passer du temps avec les gens qu’on aime. J’ai vraiment passé un magnifique moment de lecture.

Ma note: ♥♥♥♥

Toute la mer dans un coquillage – Marie Javet

Nombre de pages:  272 pages

Editeur: Solar

Date de parution (dans cette édition): 11 juin 2020

Résumé: 

Après avoir tout plaqué à Paris, Claire, trentenaire célibataire, tente un retour aux sources dans le Midi, et s’offre un nouveau départ grâce au minimalisme… Un roman de développement qui donne envie d’alléger et de simplifier sa vie pour laisser la place à l’essentiel et retrouver le goût des bonheurs simples.

A 35 ans, Claire est responsable éditoriale dans une grande maison d’édition où elle est sur le point d’être nommée directrice de collection. Célibataire, elle profite des distractions de la vie parisienne et papillonne sur les applis de rencontre, en espérant y trouver le grand amour. Le jour où elle apprend que sa collègue et meilleure amie est promue à sa place, son monde s’écroule. En faisant le bilan de son existence, Claire se rend compte que son métier ne lui apporte plus satisfaction et que sa vie sentimentale est un véritable fiasco.

Elle décide alors de tout plaquer à Paris, pour tenter un nouveau départ. Sans filet ni objectif établi, avec seulement une valise contenant ses effets personnels, elle retourne dans le Midi, là où vit sa mère, Anne-Lise, avec laquelle elle a maintenu un contact lointain et sporadique. En débarquant à l’improviste chez celle-ci, elle retrouve une femme souffrant d’une véritable pathologie, le syndrome de Diogène, qui la pousse à acheter compulsivement, à accumuler et garder tout ce qu’elle a acquis dans sa vie.

Les retrouvailles sont conflictuelles. N’ayant pas d’autres points de chute, Claire trouve son exutoire à travers de longues balades en bord de mer où elle se sent petit à petit revivre… Jusqu’au jour où elle découvre qu’un secret de famille est à la racine du mal-être de sa mère et de leurs relations compliquées. Elle décide alors de faire le grand ménage dans sa vie, entamant un processus de désencombrement. Tout y passe : d’abord les choses matérielles, mais aussi les relations toxiques et les pensées négatives. A mesure qu’elle s’en déleste et simplifie sa vie, elle va croiser sur ce nouveau chemin des activités qui donnent un sens à sa vie, des gens authentiques, et qui sait ? peut-être aussi enfin l’amour…

Une belle leçon de minimalisme qui nous apprend que le bonheur est là, à notre portée, dans le bruit du va-et-vient des vagues, que l’essentiel peut tenir comme la mer dans un coquillage…

Mon avis: 

Vous pouvez retrouver mon avis complet juste ici 🙂

Ma note: ♥♥♥♥

Le loup des Cordeliers (tome 1) – Henri Loevenbruck

Nombre de pages: 560 pages

Editeur: XO

Date de parution (dans cette édition): 24 octobre 2019

Résumé: 

Mai 1789, un vent de révolte souffle sur Paris.

Gabriel Joly, jeune provincial ambitieux, monte à la capitale où il rêve de devenir le plus grand journaliste de son temps. un enquêteur déterminé à faire la lumière sur les mystères de cette période tourmentée.

Son premier défi : démasquer le Loup des Cordeliers, cet étrange justicier qui tient un loup en laisse et, la nuit, commet de sanglants assassinats pour protéger des femmes dans les rues de Paris…

Les investigations de Gabriel Joly le conduisent alors sur la route des grands acteurs de la Révolution qui commence : Danton, Desmoulins, Mirabeau, Robespierre, personnages dont on découvre l’ambition, le caractère, les plans secrets.

Alors que, le 14 juillet, un homme s’échappe discrètement de la Bastille, Gabriel Joly va-t-il découvrir l’identité véritable du Loup des Cordeliers, et mettre au jour l’un des plus grands complots de la Révolution française ?

Mon avis: 

J’avais adoré les autres romans de l’auteur et j’avais hâte de découvrir ce nouveau roman qui prend place durant la révolution française. J’ai trouvé l’intrigue passionnante et j’ai aimé en savoir plus sur la politique à cette période clé de l’histoire. Cependant, j’ai trouvé parfois que l’auteur allait un peu loin dans ses explications de la situation politique et j’avoue qu’il m’a parfois perdue un peu en route (il faut dire aussi qu’avec un bébé à la maison je suis assez fatiguée et j’ai un peu plus de mal à me concentrer haha 😉 ). J’ai donc trouvé (personnellement) que certains passages auraient pu être écourtés même si évidemment tous ces faits sont très intéressants et démontrent que l’auteur a vraiment décortiqué l’Histoire. J’ai adoré le personnage de Gabriel, jeune provincial qui rêve d’être journaliste à Paris. Son enthousiasme et parfois sa naïveté m’ont touchée. J’ai trouvé passionnante cette histoire de justicier qui sauve des femmes en détresse, accompagné d’un loup. Pour le coup j’ai vraiment trouvé ce roman féministe et cela fait du bien! Il s’agit cependant d’un premier tome et j’ai hâte de connaître la suite étant donné que l’auteur nous abandonne sur une scène d’un suspens insoutenable… L’auteur prouve encore une fois qu’il arrive à m’intéresser à n’importe quel sujet, après les motards (nous rêvions juste de liberté) et les services secrets (j’irai tuer pour vous) 😉

Ma note: ♥♥♥(♥)

Et voilà, c’est tout pour mes lectures du mois de juin 2020:) et vous, vous avez lu quoi ?

A tout bientôt 🙂