[Makeup] Chronique du futur

Publié le 10 mars 2016 par Run The Beauty

Aujourd’hui, il s’agit d’un article un peu particulier. Dans le cadre de ma collaboration avec Le Vanity de Chloé nous écrirons des articles avec un thème commun sur nos blogs respectifs chaque second jeudi du mois. Le thème du jour était de présenter un maquillage futuriste alors j’ai laissé place à mon imagination autant pour le maquillage que pour le texte que j’ai trouvé plus adapté qu’un tutoriel. J’espère que cet article vous plaira, le maquillage, comme les photos et comme le texte. Une fois l’article lu, j’aimerais vraiment que vous me disiez en commentaire ce que vous avez pensé de l’ensemble. Même si j’avoue espérer un tout petit peu d’indulgence pour mon premier maquillage insortable et pour ma premier pose de faux-cils.

Nous sommes en 2153, la vie devient fragile. Précieuse. L’exercice de la vie devient un exploit. Il faut faire preuve de stratégie pour survivre. La bataille, maître mot de la motivation. Il faut oublier le passé pour laisser place au futur. On ne laisse plus de place au souvenir.

La beauté de la vie se découvre à présent, vivre est devenu risqué. C’est devenu un art.
Je vous présente Antinéa.

Je ne vous dirais pas comment elle était, vous pouvez le deviner même si sa transformation fait déjà effet. Sa peau laisse place à de la ferraille. Devenir invincible est son projet. Pour ça, c’est l’antidote de la mort qu’elle a prit. Où se le procurer ? Comment ? De quoi il s’agit ? Elle gardera le secret, car survivre est un privilège.

Si sa transformation entière est réussie, elle deviendra immortelle. Alors pour le moment, pour éviter toute abstraction à sa transformation, elle reste isolée, dans une maisonnette qui se trouve au fin fond du village. A l’abri de tous, même des plus proches.

Antinéa souhaitait juste que quelques lignes soient écrites à son honneur. Car la génération future est encore un chemin incertain pour elle. Il ne s’agit pas de souvenir, car rappelons-le, ils sont interdits.

Il s’agit juste d’écrire l’histoire présente.