Hello tout le monde !
Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler du roman la ferme des animaux de l’auteur George Orwell. C’est un classique qu’on ne présente plus!
♥ = Bof bof, à éviter
♥♥ = Sympa, sans plus
♥♥♥ = Pas mal du tout , j’ai passé un bon moment !
♥♥♥♥ = A lire absolument !
♥♥♥♥♥ = Attention, gros coup de cœur !
Les (♥) représentent les demis
L’image provient de mon instagram.
Nombre de pages: 176 pages
Maison d’édition: folio
Date de parution (dans cette édition): novembre 2020
4ème de couverture:
Un jour de juin eut lieu en Angleterre la révolte des animaux. Les cochons dirigent le nouveau régime. Boule-de-Neige et Napoléon, cochons en chef, affichent un règlement : « Tout ce qui marche sur deux pieds est un ennemi. Tout ce qui marche sur quatre pattes, ou possède des ailes, est un ami. Nul animal ne portera de vêtements. Nul animal ne dormira dans un lit. Nul animal ne boira d’alcool. Nul animal ne tuera un autre animal. Tous les animaux sont égaux. » Le temps passe. La pluie efface les commandements. L’âne, un cynique, arrive encore à déchiffrer : « Tous les animaux sont égaux, mais certains animaux sont plus égaux que d’autres. »
Mon avis:
Cette année, j’avais vraiment envie de découvrir des classiques de la littérature et celui-ci me faisait de l’œil depuis longtemps. Je crois que j’avais déjà dû lire une bande dessinée adaptée du roman mais je n’avais pas lu le texte initial. J’ai vraiment adoré ma lecture.
Il s’agit d’une satire sociale où les animaux d’une ferme, sous l’influence de deux cochons, décident du jour au lendemain de se rebeller contre leur maître et de fonder une nouvelle société, où seuls les animaux décideront de leur destin et travailleront pour leur unique bien-être et pas pour servir un humain.
Bien entendu, si les choses semblent idylliques au début, des dérives se font vite sentir car les cochons, plus érudits que les autres animaux, se rendent vite compte qu’ils peuvent tirer profit de la situation…et s’octroyer des droits que les autres animaux n’auront pas. Ceux-ci d’ailleurs, crédules et se fiant les yeux fermés aux cochons, se font exploiter par leurs frères animaux d’une manière bien plus dure que le fermier auparavant…
Vers ce temps-là, les cochons emménagèrent dans la maison d’habitation dont ils firent leurs quartiers. Une fois encore, les animaux crurent se ressouvenir qu’une résolution contre ces pratiques avait été votée, dans les premiers jours, mais une fois encore Brille-Babil parvient à les convaincre qu’il n’en était rien.
La ferme des animaux, de George Orwell, page 74.
Un grand roman, aussi drôle que dramatique, qui fait réfléchir sur la cupidité du genre humain. En effet, même si les protagonistes du livres sont des animaux, leurs interactions et travers ne sont finalement que le reflet des nôtres. Brillantissime!